C est donc à priori le nom de la prochaine formule du journal municipal, paraît-il tant attendue, qui arrive dans sa dernière ligne droite.
Un titre, nous dit-on, « moderne, percutant, facile à mémoriser » pour un journal différent » et qui devrait être combiné avec « Saint-Ouen ».
Plusieurs fois abordée au bureau municipal depuis mai dernier, le nouveau produit d ANATOME, l agence de com. préférée de la Ville,  semble aujourd hui prêt à être lancé sur le marché.
Un journal de Saint-Ouen bimensuel plus « projectif » (devançant l actualité) que « rétrospectif » (rendant compte après coup comme dans la formule actuelle).
Un 16 pages, 2 fois par mois, se substituant donc aux 40 pages mensuelles de l actuel magazine avec une série de doubles-page : évènement, annonces, suivi des engagements, Conseil municipal, tribunes « libres », publicité, quartiers, Docks, sports…
Evidemment tout ceci laisse songeur, au regard des difficultés de l équipe municipale à communiquer déjà en interne.
Le scepticisme est aussi de rigueur quand on voit déjà le fiasco de certaines réunions publiques comme sur les Docks, les comptes rendu mensongers qui en sont fait dans le journal actuel (pas vraiment « texto » ! [1]), la censure de plusieurs tribunes « libres » de l opposition ou l utilisation de la « lettre » du Maire pour critiquer les Socialistes et les Verts.
Quant au coût global de cette affaire : secret Défense.
Numéro « zéro » confectionné en décembre 2009. Premier numéro en « début d année 2010 »… et sans doute selon la tournure des évènements.
Au-delà de la modernité du journal, la vrai question est bien son contenu, la transparence dans les affaires municipales, le rapport aux citoyens et pour tout dire la démocratie.
[1] Texto (source Wilkipédia) :
Expression courante signifiant reproduction exacte d’une parole (abréviation de « textuellement »). Exemple : Il a dit ça texto. Cette expression montre souvent la surprise ou la contestation du rapporteur qui souhaite crédibiliser son propos.
Message sur un téléphone portable : voir Short messages services (SMS). Le mot texto, a été inventé par SFR, mais son usage s’est généralisé en France : la Cour d’appel de Paris a jugé en septembre 2009 que le terme “texto” était « devenu usuel pour désigner un message envoyé par téléphonie et qu’il n’était pas associé à la société SFR
Si l’info dans ce nouveau canard est réellement projective tant mieux.
J’en ai marre d’avoir des compte rendu d’événements dont je n’était pas au courant et que bien évidemment j’ai raté !
Journal municipal ou bulletin municipal ? Des comptes rendus de l’activité municipale et des initiatives è venir. Ce sera probablement son contenu. En fait, il ne changera pas beaucoup en qualité, mais sera plus fourni en informations. Il sera, en effet, bimensuel. Y aura-t-il un édito du Maire comme cela se fait ailleurs ?
On met le grand braquet afin que rien de ce qui se passe è Saint-Ouen n’échappe au lecteur. Il semble qu’il existe dans le service com. une équipe déjè rompue au travail journalistique qui nécessite une rédaction rapide et une parution aussi rapide, sinon l’impact de l’information perd de son efficacité.
Je trouve rarement ce magazine dans ma boè®te aux lettres. J’en ignore la raison. Suffira – t-il è faire remonter la cote d’un conseil municipal ébranlé par une crise jamais vue è saint-ouen ? On peut en douter car la crise est profonde. La gauche, si tant est que l’on puisse l’appeler la gauche, s’est divisée en deux, pour ne pas dire en trois. Les élus socialistes ont les dents longues. Mamadou Keita campe sur ses positions. On ne voit vraiment pas la fin du tunnel ! Qui va lè¢cher du lest le premier ?
Journal municipal ou bulletin municipal ? Des comptes rendus de l’activité municipale et des initiatives à venir. Ce sera probablement son contenu. En fait, il ne changera pas beaucoup en qualité, mais sera plus fourni en informations. Il sera, en effet, bimensuel. Y aura-t-il un édito du Maire comme cela se fait ailleurs ?
On met le grand braquet afin que rien de ce qui se passe à Saint-Ouen n’échappe au lecteur. Il semble qu’il existe dans le service com. une équipe déjà rompue au travail journalistique qui nécessite une rédaction rapide et une parution aussi rapide, sinon l’impact de l’information perd de son efficacité.
Je trouve rarement ce magazine dans ma boîte aux lettres. J’en ignore la raison. Suffira – t-il à faire remonter la cote d’un conseil municipal ébranlé par une crise jamais vue à saint-ouen ? On peut en douter car la crise est profonde. La gauche, si tant est que l’on puisse l’appeler la gauche, s’est divisée en deux, pour ne pas dire en trois. Les élus socialistes ont les dents longues. Mamadou Keita campe sur ses positions. On ne voit vraiment pas la fin du tunnel ! Qui va lâcher du lest le premier ?
Mon cher René,
La dernière mouture du bulletin municipal fige dans le temps, mais pas è jamais, le rapport du staff de Jr en matière de com : un décalage avec la vraie vie.
Ainsi, des Chinois sont venus pour signer “une coopération économique entre les deux cités”. Dommage que ce sujet ne soit pas traité journalistiquement!
Cette délégation a-t-elle rencontré des lycéens de Blanqui intéressés par l’apprentissage du Chinois ?
Ainsi, le Red Star et Sciences Po ont scellé un parternariat portant sur un échange de compétences respectives.
Chacun verra midi è sa montre, mais nous voici donné un beau message, avec les propos rapportés du directeur de la fameuse école parisienne “le sport è Spo est trés important. Nous avons une association trés exigeante mais nos élèves réclament encore plus”.
Et l’article de conclure “cette démarche va de pair avec les conventions d’éducation prioritaire CEP signée par Spo avec des lycées de banlieue -parmi lesquels Blanqui pour intégrer leurs élèves”.
J’ai espéré un instant que notre journaliste évoque la réalisation tant attendue et nécessaire des équipements sportifs de Blanqui réclamés par tous sauf par JR ! ”
En tous cas, après toutes ses années de régne, JR découvre la possibilité d’une parution tous les 15 jours. C’est une bonne nouvelle.
Donc rendez-vous le 14 janvier pour un nouveau bébé, placé sous les propos de la rédaction “vivement 2010, nous aurons plus souvent rendez-vous pour raconter Saint-Ouen. L’histore continue… avec vous”. Sans rire!
Je fais le voeu et caresse l’espoir que les fées “respect des faits”, “respect des citoyens audoniens ” et “respect de la vie sociale” se soient penchées sur l’ancien commissariat, son berceau.
Mon cher Franè§ois, je ne discerne pas pourquoi on passe sous silence la présence d’une délégation chinoise è Saint-Ouen, dont la mission est de mettre en place une coopération économique entre la commune et la Chine. Dommage qu’elle n’ait pu rencontrer des élèves du lycée faisant l’apprentissage du chinois. Il y a certainement des possibilités d’échanges de côté-lè
Mais bon, je ne tiens pas è m’ériger en donneur de leè§on . Et ce d’autant moins que je n’ai aucune expérience en matière de coopération économique, culturelle et autres. Par ailleurs, la place donnée è la pratique sportive è sciences po qui s’est traduite par un partenariat avec le red star, et les possibilités d’accès è cette université pour les élèves des lycées de banlieue constituent des faits nouveaux non dénués d’intérêt. La porte d’une grande université (je crois !) s’ouvre, ou s’entrouvre, enfin aux enfants des familles modestes.
Quant au nouveau magazine municipal, pas d’anticipation, puisque l’occasion va très bientôt offerte è tous de se faire une opinion sur son contenu et sa présentation. Attendons ….
Mon cher François, je ne discerne pas pourquoi on passe sous silence la présence d’une délégation chinoise à Saint-Ouen, dont la mission est de mettre en place une coopération économique entre la commune et la Chine. Dommage qu’elle n’ait pu rencontrer des élèves du lycée faisant l’apprentissage du chinois. Il y a certainement des possibilités d’échanges de côté-là
Mais bon, je ne tiens pas à m’ériger en donneur de leçon . Et ce d’autant moins que je n’ai aucune expérience en matière de coopération économique, culturelle et autres. Par ailleurs, la place donnée à la pratique sportive à sciences po qui s’est traduite par un partenariat avec le red star, et les possibilités d’accès à cette université pour les élèves des lycées de banlieue constituent des faits nouveaux non dénués d’intérêt. La porte d’une grande université (je crois !) s’ouvre, ou s’entrouvre, enfin aux enfants des familles modestes.
Quant au nouveau magazine municipal, pas d’anticipation, puisque l’occasion va très bientôt offerte à tous de se faire une opinion sur son contenu et sa présentation. Attendons ….