Comme annoncé ici ou là depuis quelques jours, le nouveau Ministre de l’intérieur Manuel Valls a fait escale aujourd’hui à Saint-Ouen désormais Zone prioritaire de sécurité. Escorté de Bruno Le Roux notre Député*. Une visite en trois étapes : arrivée à 17 h au Vieux Saint-Ouen, passage éclair place du 8 mai 1945 avec rencontre du boulanger et pour terminer conférence de presse au commissariat
Notre Maire, Jacqueline Rouillon, radicale en paroles et laxiste en actions, est toutefois une pragmatique et pas à une contradiction près. Flirtant hier avec les caméras de l’UMP Brice Hortefeux, aujourd’hui elle se revendique du changement en demandant évidemment toujours plus à l’Etat. Mais ne soyons pas médisants, elle nous gratifiera d’un bel interview dans les médias pour nous expliquer que son action déterminée et permanente est payante.
Nous en saurons donc un peu plus rapidement.
A suivre….
Pas de Kachouri à l’horizon ?
pas mal la photo car Jacqueline Rouillo, normande d’adoption, est actuellement un peu dans le “pétrin” avec la démission apparemment orageuxe de son Directeur de cabinet.
Pas l’ombre d’un Kachouri cette après midi alors qu’un ministre de l’intérieur socialiste nous honnorait de sa visite ? Il était pourtant en première ligne pour la visite de Guéant !! Est-ce plus facile d’exister aux côté d’un ministre de droite ? Entendez quand les petits copains de gauche restent à la maison ? Car la évidemment Bruno le Roux était le maître d’œuvre de la visite et n’entendait sûrement pas partager avec le vilain petit canard, même si il s’agit du ministre de l’intérieur local !
@ Bruno
Nous en avons parlé, mais vous avez mal vu.
M. Kachouri, lui-même en personne, était bien présent mais assez discret.
On m’a rapporté, ça ne s’invente pas et c’est tout lui, qu’il avait passé son smartphone à un disciple pour se faire prendre en photo avec le Ministre.
Il doit désormais avoir une belle collec.
Kachouri était présent uniquement pour la conférence de presse au commissariat, de la à en déduire qu’il n’ose plus se montrer dans les quartiers il n’y a qu’un pas.
Si Pierre,post 1,Abdelhak est en photo à côté de Valls sur le site “lesaudoniens.com” de Facebook!
Une des premières dispositions prises concernant la sécurité est l’affectation de deux agents de sécurité pour le collège jaurès.
On ne peut que s’en réjouir compte-tenu des problèmes d’insécurité et d’incivilités , rencontrés à l’intérieur et l’exterieur de cet établissement, l’année dernière.
Si on considère que ces actes de délinquance sont liés au déplacement des problèmes et du climat que vivent les jeunes et la population dans leur quartier : vieux et claude monet.
Pourquoi n’a t-on pas déployé les mêmes moyens pour les autres établissements ? Il a été fait le même constat!
Baker accueille les mômes d’Arago et de Charles-schdmit. Nous avons des problèmes identiques à Jaurès : des gamins interpellés à la sortie des écoles jusqu’au square marmottan, des jeunes qui agressent les passants ou qui prennent la rue pour un terrain de foot provocant la colère de nombreux automobilisteS!!!
C’est tout Saint-ouen qui est une ZSP, non?
Pouvez vous m’expliquer pourquoi JR en tant que premier magistrat n’a pas averti officiellement les associations et les citoyens engagés pour la sécurité de la visite et de son déroulement ? A quoi cela-a-t-il servi de donner nos noms lors de la réunion extraordinaire à Ampère?!
La seule info reçue l’a été à 9h09 par SMS d’un ex coco, toujours maire-adjoint et maintenant au PS?
Quand je reçois un mail à 19h11 d’un responsable de la principale organisation de locataires qui écrit avoir été prévenu à 16h30, le ciel audonien me tombe sur la tête.
Noël Roquevert, illustre second rôle du cinéma français exprimait sa colère contre les “jeanfoutres” dans une une de ses célébres répliques… Voici une des premières retombées heureuses de la cité Besson…
Pour la petite histoire, bloqué au CMS Barbusse par les personnes agées qu me précédaient chez l’ophtamologue, j’ai pris bien 3 quarts d’heure de retard pour récupérer mon véhicule. Et bien, la police municipale dans sa toute puissante et intelligente action m’a fait cadeau d’un PV à 17 euros à 18h35. A l’heure où chacun sait que les visiteurs de notre ville cherchent une place pour se garer.
C’est comme cela avec JR.
@Hugo post2
Sauf que même avec leur trou, leur parole et leurs vaches, les normands eux ont une bien meilleure réputation.
Des audoniennes ont pu se faire entendre!Le ministre en tiendra-t-il compte?
http://www.humanite.fr/societe/valls-des-zones-de-securite-prioritaires-pour-enraciner-letat-dans-les-quartiers-503763
Un article un peu plus intéressant que les autres sur notre ZSP (comprendre “n’est pas un copier/coller d’une dépêche AFP) :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/09/12/a-saint-ouen-une-zone-de-securite-contre-le-trafic-de-drogue_1759087_3224.html
A Saint-Ouen, une zone de sécurité contre le trafic de drogue
LE MONDE | 12.09.2012 à 14h46 • Mis à jour le 12.09.2012 à 14h46
Par Laurent Borredon
Manuel Valls a fait le choix de la sécurité, à coup sûr, en choisissant Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) pour inaugurer, mardi 11 septembre, une première zone de sécurité prioritaire (ZSP) parmi les quinze choisies début août. Il s’agit d’un terrain ami, politiquement : le député, Bruno Le Roux, est aussi le patron du groupe socialiste à l’Assemblée nationale.
Saint-Ouen est aussi un terrain d’expérimentation depuis longtemps : la ville est déjà couverte par une brigade spécialisée de terrain (BST, depuis 2010) et un périmètre de sécurisation renforcée (PSR, depuis 2011) – tous dispositifs qui avaient un seul but, mettre des policiers dans les rues. La mairie a renforcé de son côté sa politique de sécurité après plusieurs règlements de comptes. “L’installation d’une ZSP est la reconnaissance officielle par l’Etat du travail que nous menons depuis quatre ans dans cette ville”, veut croire Abdelhak Kachouri (PS), adjoint au maire chargé de la sécurité. A Saint-Ouen, enfin, la priorité affichée par la ZSP est emblématique et compréhensible de tous : la lutte contre le trafic de stupéfiants.
Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr. Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1€ / mois | Découvrez l’édition abonnés
Finalement, la difficulté principale était de démontrer la différence ou le saut qualitatif, permis par la ZSP par rapport aux précédents dispositifs. Car Saint-Ouen, malgré ces efforts, est devenu une des plaques tournantes du trafic de cannabis dans la petite couronne parisienne. D’un accès facile, la ville attire les clients de tout l’ouest parisien. Dans les cinq quartiers choisis pour la zone de sécurité, une trentaine de points de deals ont été identifiés. “Ils sont extrêmement mouvants et survivent aux actions entreprises”, a expliqué, mardi, le commissaire François Joennoz lors d’une réunion de travail entre le ministre, les élus, les représentants de la police, la justice et l’éducation nationale.
Contrairement aux précédents dispositifs, la ZSP est fondée sur “un copilotage beaucoup plus serré entre le préfet et le procureur”, défend Serge Castello, patron de la sécurité publique de Seine-Saint-Denis. “La justice est mise dans la boucle en amont, ce qui est bien plus préférable”, ajoute-t-il. Concrètement, pour Saint-Ouen, le préfet Christian Lambert et la procureure de la République à Bobigny, Sylvie Moisson, ont déjà coprésidé depuis le 1er septembre deux réunions. “Sans parlotte, assure M. Lambert, on décide, on va au fond des choses.”
Des objectifs ciblés, géographiques mais aussi humains, ont été définis – une quarantaine de familles liées au trafic de drogue. “Il ne faut plus d’opérations “coup de poing”, a jugé M. Valls, mais un travail dans la continuité.”
“NE PAS CRÉER D’USINE À GAZ”
En accord avec le parquet, les policiers ont à leur disposition des outils originaux pour déstabiliser les trafics : verbalisation des guetteurs pour “tapage” lorsqu’ils crient pour alerter les revendeurs, ou des jeunes cagoulés, en vertu de la loi de 2011 qui interdit la dissimulation du visage (dite “anti-burqa”) ; ordonnance pénale ou transaction douanière pour les consommateurs, ce qui permet de les toucher au portefeuille et de les décourager (Le Monde du 20 juillet). Le parquet s’est également engagé à favoriser une “réponse pénale immédiate”, lorsque cela est possible, et un “audiencement prioritaire devant le tribunal correctionnel” lorsque cela est nécessaire. Un tableau commun police-justice de suivi des objectifs a été mis en place – une petite révolution.
Voilà pour la partie policière et judiciaire. Mais les ZSP sont censées être plus ambitieuses. “Il faut articuler l’action de la police et de la justice avec les autres services de l’Etat et les autres acteurs”, explique Bruno Le Roux, qui, le premier, a utilisé le terme de zone de sécurité prioritaire, repris ensuite par le PS lors du forum de Créteil sur la sécurité en novembre 2010 avant de l’être par le candidat à la présidentielle François Hollande. “La police peut mener une action d’éradication des trafics. Mais le business est tellement juteux que d’autres les remplaceront si on ne change pas les comportements dans les quartiers”, estime le député socialiste.
Mardi, lors de la réunion de travail qui a clos sa visite, le ministre de l’intérieur avait donc convié le directeur académique et le préfet délégué à l’égalité des chances. Le premier, Jean-Louis Brison, a dévoilé son impuissance face au manque de moyens – pas plus de 1 % des enfants âgés de 2 à 3 ans sont scolarisés en Seine-Saint-Denis, environ 20 % seulement des collégiens de Saint-Ouen bénéficient d’un accompagnement éducation. Le deuxième, Stéphane Rouvé, un ancien des cabinets de Brice Hortefeux, a affiché son volontarisme, assurant que des solutions adaptées seraient proposées aux 2 000 jeunes sans emploi de la ZSP.
“Faisons attention à ne pas créer d’usine à gaz. Il faut se donner du temps. Je vous demande des résultats, mais dans le temps, et pas pour moi, pour les habitants”, a assuré aux policiers M. Valls. Quelques instants auparavant, il avait pu mesurer l’impatience des résidents de la cité Cordon. “Je reviendrai”, s’est-il engagé. “Avec des résultats !”, ont-ils réclamé. “J’espère”, a répondu le ministre, prudent.
C’est vrai,Dumez post 11,que cet article est un peu plus intéressant et fouillé que ceux qu’on lit habituellement.Je ne comprends pas pourquoi le PS et Bruno Le Roux qui semblent avoir réfléchi au problème ne communiquent pas plus leurs propositions dans le débat qui agite le microcosme audonien…
“Bruno Le Roux qui semble(nt) avoir réfléchi au problème” Il faut dire qu’il habite au milieu du problème… [son adresse est dans les pages blanches, je ne dévoile aucune information confidentielle)
Si Valls et Abdelhak leur demandent,ils sont prêts à étendre leur action à St-Ouen et même à Marseille…
http://fr.rian.ru/world/20120913/196032767.html
oui M. Kachouri était bien au vieux quelques instants mais craignant quelques railleries d’habitants d’Arago ayant fait le déplacement il a pris très vite la direction du commissariat et n’a pas suivi le tour de ville mais si il a sa photo on est content
Abdelak Kachouri est l’archétype du play boy de l’ère moderne. C’est un garçon intelligent et d’un abord agréable, qui plait aux dames – il ne faut pas être jaloux – et dont le destin est tout tracé. Il va hanter, sous peu les salons feutrés de l’assemblée nationale ou du sénat. Monsieur Kachouri aurait pu aussi bien réussir dans le théâtre ou le cinéma …
@René Matéo,
Non, monsieur Kachouri n’aurait pu réussir dans le théatre ou le cinéma car contrairement à la politique il faut nécessairement avoir du talent.
Sincères salutations
Voici le résumé de la visite du ministre emprunté à la Lettre d’information du Secrétariat à La ville;
Une vidéo présentant la totalité du discours est accessible sur son site.
Mardi 11 septembre 2012, Manuel Valls, ministre de l’intérieur, s’est rendu à Saint-Ouen, à l’occasion du lancement des zones de sécurité prioritaires (ZSP).
” Faire de la sécurité une priorité pour tous les Français, à commencer par ceux qui sont le plus exposés à la délinquance ”
Revenant sur le calendrier fixé pour la mise en œuvre du dispositif, Manuel Valls a rappelé que le point de départ fut l’annonce, le 4 août 2012, de la liste des 15 premières ZSP ; dont celle de Saint-Ouen.
Le ministre a ensuite indiqué que l’extension des ZSP se fera année après année par un travail méthodique et progressif : 50 à 60 ZSP seront ainsi créées d’ici septembre 2013 aussi bien en zone police qu’en zone gendarmerie.
” Une politique de sécurité dans le concret et qui entraîne des effets sur le quotidien ”
Eléments de la réponse et de la protection des Français, les ZSP traduisent :
– Une méthode concrète, visant notamment à déterminer des segments de la délinquance à attaquer en priorité sur un territoire.
– Un principe de proximité, avec la conception, le pilotage et l’évaluation des résultats au plus près du terrain et le renforcement du lien entre les forces de l’ordre et la population.
– Des moyens conjugués, en utilisant tout l’éventail des techniques policières (action anti-délinquance des BAC, recueil et partage du renseignement opérationnel, entre autres).
” La méthode des ZSP, c’est avant tout réussir à tirer le plein potentiel des moyens existants ”
Pour ce faire, les ZSP s’appuient sur:
– Un décloisonnement de l’action de l’ensemble des services publics ;
– Un partenariat resserré entre les acteurs locaux : maires, services sociaux et éducateurs, bailleurs, établissements d’enseignements et associations.
Ainsi pour la ZSP de Saint-Ouen, dont l’objectif n°1 est la lutte contre les trafics de drogue, le ministre a indiqué que les services de police, des douanes, de l’institution judiciaire, de l’éducation nationale et des collectivités territoriales avaient pris l’engagement de travailler ensemble pour améliorer le quotidien des habitants.”
et pendant ce temps, la police municipale distribue les PV aux honnêtes gens…
Le Maire a donc repris hier soir sa tournée des quartiers et pour ce premier rendez vous, le vieux Saint-Ouen était à l’honneur. Malheureusement pour ceux qui ont pu y assister, le constat est formel et très alarmant. Les trafiquants se radicalisent dans leurs attitudes et n’hésitent plus à braver le pouvoir. Il y a encore quelques temps très proche, la ou le Maire organisait une rencontre, ils auraient cédé la place le temps de l’évènement. Aujourd’hui ce n’est plus la cas, ceux qui étaient présent hier soir ont pu le constater, au pied de la tour du 2 rue du Landy ou les dealers cagoulés n’ont même pas pris la peine de quitter le hall de l’immeuble, pire, ils continuaient à réglementer l’accès de l’immeuble alors même que le Maire faisait un discours offensif contre leur présence, à moins de dix mètres d’eux. Certains habitants s’interrogeants même sur d’éventuelles représailles à leur présence à ce rassemblement. Alors au regard de tout cela, nous sommes en droit de douter des effets de la mise en place médiatique des ZPS de monsieur Valls mais bon, soyons positifs et laissons le temps au temps, même si l’exaspération des habitants monte face à cette situation qui devient insupportable. En tous les cas je pense très sincèrement que la majorité et pour une fois je parle bien de toutes les composantes de la gauche, jouent très gros sur ce coup la. Oui je pense que si ces ZPS s’avèrent être simplement une opération de communication promotionnelle de monsieur Valls, relayé par le Maire et ses amis socialistes locaux, leur parole ne vaudra plus grand chose au yeux des Audoniens et surtout des parents qui s’inquiètent de l’avenir de leurs enfants dans cette ville.
toujours dans la FACADE se faire voir mais à la FIN rien que des photos ou on en a rien a faire et des paroles pour ne rien dire
toujours la même piéce de théatre ou chaqu un tiens un role mais la VIE ce n est pas cela
il faut à Saint Ouen que des personnes qui en ONT qui non pas peur d aller dans les cités ,qui tiennent leurs promesses 2014 arrive à grand pas ATTENTION
Malik,
Je constate une chose très positive en cette rentrée scolaire, il semblerait que depuis l’élection d’Hollande, il y ait une volonté de venir à la rencontre des citoyens et de les écouter.
Rencontre de quartier, je sors d’une rencontre au lycée organisée, dans le cadre des débats nationaux de l’Education nationale; certains ont été invités à rencontrer Valls, des comités participatifs vont reprendre : sécurité, cantine scolaire, réussite éducative….
Ceux qui réclamaient plus de démocratie participative ne peuvent que s’en réjouir, l’important étant d’être, réèllement, entendu.
L’engagement socialiste de changer les choses rapidement ; a motivé les communes de gauche mais dans le même temps, leurs propositions qui ne cessent d’être répétées voire même rédigées expliquent une certaine impatience et exigence de la part de la population qui elle n’en peut plus d’attendre!
J’ai lu , par exemple, la lettre de Peillon, écrite aux enseignants et je peux vous assurer que pour les parents elle servira de référence pour nos éventuelles revendications, car entre ce qui a été dit, ce qui était prévu et ce que l’on voit dans la réalité, ça n’est pas encore ça.
Mesures urgentes dès la rentrée : 1000 postes, ou sont ils?
Il nous faudra donc rester très vigilants
Nous serons tout aussi exigeants avec l’équipe municipale car le plan de sauvetage de Valls devra porter ses effets très rapidement et avant les prochaines échéances.
Pour le coup, je trouve que JR d’un point de vue com s’en sort mieux, en s’imposant au vieux, face aux jeunes elle montre à la population qu’il n’y a pas que les habitants qui doivent reconquérir leur quartier mais l’équipe municipales aussi!!!
L’important pour moi dans ce dossier en dehors de toute considération sur jr ou abdelak c’est que l’on sorte de ce merdier et qu’on nous permette d’éduquer nos enfants dans de meilleures conditions.
à Sally
savez vous combien il y a de policiers municipaux et combien cela coûte à la ville.
Samedi soir, après le spectacle où tout s’est bien passé, le “Chef” en costume civil et anonyme de la PM s’est arrogé le droit de fermer l’unique stand bien avant minuit. et de s’adresser aux gens directement !? Ou va -t- on ?
Des gros bras, à l’accoutrement Rambo pour les honnêtes gens est-ce vraiment utile alors que la police nationale devrait faire plus.
Bizarre ce Préfet, super Rambo, qui découvre l’arsenal législatif pour embêter les dealers et les clients. Que je sache, la loi n’a pas été changée depuis l’élection de Hollande !?
Ou en est l’application du contrat avec Paris sur la brigade inter bailleurs ?
C’est réconfortant de voir enfin lire sous la plume de JR l’importance de l’éducation nationale et de la justice. Alors posons la question : quel écho des revendications des parents d’élèves et des professeurs dans le prochain municipal ?
De toute façon Valls ou pas Valls les dealeurs n’ont plus peur depuis longtemps …… je veut bien lui donner deux ans pour voir des améliorations significatives sur ce sujet….
Face à la situation dans les écoles du 93, le collectif des parents d’élèves se mobilise demain, les parents occuperont les bureaux des directeurs dans les différentses écoles de saint-ouen, st-denis, ils st-denis.
A st-ouen, nous nous rendrons à l’IEN pour exiger des profs remplaçants pour toutes les classes ou les profs sont absents !!!!
Les parents , aussi, savent parler court et efficacement; rien qu’avec des sloggans :
Le CHANGEMENT, C’EST POUR QUAND?
(du collectif des parents d’élèves de st-ouen)
Les francs-tireurs dealers* n’ont pas tardé à reprendre l’initiative dès le retrait médiatique de Valls,JR et ses adjoints,les CRS…etc…
http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/saint-ouen-agressee-pour-avoir-denonce-des-trafiquants-09-10-2012-2218373.php
*Ils ont dû étudier les leçons de stratégie militaire données par René à un pseudo Colon!Par contre et heureusement leur cocktail Molotov ne semble pas au point.René va devoir reprendre ses conseils de lancer de tartes aux fraises…
50 ans d’histoire et sociologie contemporaine sur la sécurité par le collectif panic.
“Braves gens n’ayez plus peur”
“du collectif stéphanois panic! est un film d’entretiens sur l’analyse des pratiques et des discours sécuritaires du début des années 60 jusqu’à l’avènement d’une quasi obsession sécuritaire de 1997 à 2004.
Le thème du sentiment d’insécurité a occupé une place de plus en plus centrale dans les médias et les discours politiques, notamment lors des dernières campagnes électorales. En parallèle, sous l’influence anglo-saxonne, les politiques de sécurité répressives et mettant à mal les libertés individuelles ont fait leur entrée dans l’administration judiciaire et le monde de la police. Nous nous sommes interrogés sur le pourquoi de ce déchaînement, et sur l’intérêt sous-jacent du pouvoir à l’avènement de cette quasi “obsession sécuritaire générale”. Notre analyse des discours et pratiques sécuritaires s’étend du début des années 60 jusqu’à cette récente boursouflure médiatique et donne la parole à des intervenants qui ont en commun la critique du discours dominant.”
Avec : Laurent Bonelli, Cabiria, Fabien Jobard, le MIB, Laurent Mucchielli, Mauris Rajfus, Pierre Rimbert, Philippe Robert, Ulrich Schalchli, Sylvie Tissot.
version bêta en téléchargement libre ICI (clic droit sur le lien et “enregistrer sous” si votre navigateur ne vous propose pas de télécharger le film automatiquement)
Il est également possible d’acheter la version finale du DVD pour 10 euros port compris : écrire à collectifpanic[AT]no-log.org
http://www.collectifpanic.org/index_bravesgens.htm